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vendredi 30 janvier 2009

18 Milliards en 2008 de bonus et primes au rendement aux dirigeants de Wall Street à même l'argent du contribuable...

Barack Obama s'est indigné...

Qui ne le serait pas!

Réchauffement climatique et les mondialistes-version française

Bon voici une version sous-titrée en français du film The Great Global Warming Swingle (La grande escroquerie du réchauffement global). Vous remarquerez pas tout à fait identique à la version précédante qui contient une analyse ajoutée. Il existe en fait bien des variantes de ce film...

The Great Global Warming Swingle






Récemment, je vous ai proposé le documentaire qui présente la version des alarmistes du réchauffement climatique. Bon, comme tout le monde, j'en avais entendu parlé. On nous prédit des catastrophes, des inondations, etc.

Cependant, la belle unanimité de la science derrière cette analyse de la situation ne serait pas ce qu'on pense...

Voici donc un documentaire qui présente une autre version. En fait, le facteur principal du réchauffement climatique est l'intensification des activités du soleil. En fait, ce qui est étonnant, c'est que le réchauffement climatique réduirait les catastrophes au lieu de les multiplier. On apprend que Al Gore traficote ici et là la vérité... sur une question franchement complexe... Et la question qui vient ensuite est pourquoi?

Bon, je sais qu'on n'aime pas les conspirationnistes, ils ont l'air de paranos qui s'inventent de belles histoires de peur. Cependant, ils attirent l'attention sur une tendance bien réelle: des gens puissants dictent de plus en plus l'agenda du monde. Il est difficile de nier que le monde via l'ONU et d'autres organisations subit de fortes pressions de la part d'un groupe qu'on appelle les mondialistes qui stimulent l'arrivée d'un Nouvel ordre mondial. Tous les derniers présidents américains depuis un quart de siècle en ont parlé assez directement. Kyoto et la normalisation de l'industrie planétaire par des normes environnementales sous un contrôle mondial dans l'intérêt de l'humanité est une façon fort subtile, si l'on y pense, de bien manipuler et contrôler le monde. C'est le nouveau Dieu qui permettra les nouvelles croisades.

Avec l'exemple de l'Union européenne qui dilue de plus en plus les souverainetés nationales et donc les démocraties réelles, plusieurs se posent de fameuses questions sur cet avenir de partenariat public-privé où les décisions se prennent le plus souvent dans des salles fermées au public dans des meetings mondains comme à Davos en ce moment.

Bon visionnement (c'est en anglais):

Global warming and Global gouvernance



Il est intéressant de lire un résumé de la controverse sur Wikipédia.

lundi 26 janvier 2009

On l'appelle Ni-co-ti-ne...


J'ai écrasé hier... Pas parce que j'aime les pubs «jche t'aime» (elles m'agassent...) ni que je suis du genre à m'arranger pour faire les choses en même temps que tout le monde. Non, je suis dans le processus depuis plusieurs semaines quand j'ai acheté des patches. Je profitais de cette période relativement calme pour arrêter. L'habitude du tabac recommençait à me fatiguer...

Non hier, ça a juste adonné que je terminais un livre qui traînait pourtant depuis longtemps dans nos affaires: La méthode simple pour arrêter de fumer de Allen Carr.

Ce livre est une expérience assez fascinante...

Lire le texte complet

dimanche 18 janvier 2009

Comment devenir riche (blague qui circulent sur le Net)

Once upon a time, le jeune Bob vivait au fond du Nebraska.
Un jour il décide de devenir riche, lui aussi. Pour démarrer, il choisit d’acheter un vieux cheval à un cowboy. Il emprunte sans difficulté 500 dollars à la banque du coin, qui aime par dessus tout les jeunes gens audacieux ; il verse au cowboy la totalité de la somme empruntée, et ce dernier lui promet la livraison, ferme, du canasson pour le 10 du mois.
Las ! Une semaine plus tard, le cowboy vient voir Bob pour lui annoncer une mauvaise nouvelle: le cheval est mort. Bob, qui est encore un pied tendre, lui dit alors :
- No problem, man ! Tu me rends mes 500.
- Gosh ! lui répond le cowboy, c’est que je ne les ai plus. J’ai été obligé de les refiler à ma sœur, pour qu’elle aille se soigner.
Bob, qui mûrit vite, réfléchit et lui dit :
- All right, chap ! Je prends quand-même le cheval.
- Le cheval ? Pour en faire quoi ?, lui demande le cowboy, très surpris (il ne sera jamais riche).
Bob lui répond avec assurance :
- Je vais le vendre en montant une loterie. Pour un cheval, je suis sûr de trouver tout un paquet de gens qui tenteront le coup.
Le cowboy s’étonne :
- Tu ne peux pas faire une loterie avec un cheval mort !
Petit clin d’œil de Bob :
- Pourquoi veux-tu que je dise que le cheval est mort ?

Deux mois plus tard, le cowboy croise Bob, chemise de grande classe, lunettes de soleil, montre étincelante et chaussures de cuir fin. Aussitôt, il lui demande :
- Alors ? Ta loterie, ça s’est passé comment ?
- Super ! lui répond Bob. J’ai vendu 500 tickets à 3dollars la mise. Du coup j’ai fait mes premiers 1000 dollars de profit !
- Mais…. Tu n’as pas eu de réclamations ?
- Si, bien sûr. De la part du gagnant. Mais on s’est arrangé : je lui ai rendu sa mise.
Aujourd’hui, Bob vend des produits structurés chez Goldman Sachs.

Quand les robinets du crédit coulaient à flot...


Les états ont permis aux banques de transférer les risques de leurs créances grâce à l'ingénérie financière (la titrisation) à des investisseurs trouvés par un tiers. Dans l'opération, elles retrouvent des fonds propres et peuvent augmenter encore leurs crédits... Le financement, dès lors, coule à flot. Enfin, se sont multipliées les sociétés de gestion et de financement opérant avec les principes de la titrisation des crédits... En fait, de nombreux investisseurs et opérateurs vivent du flux des crédits (intérêts). C'est même une industrie, donc il faut toujours plus de créance pour alimenter ceux qui ont de l'argent à faire fructifier.

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mardi 13 janvier 2009

Au commencement est le manichéisme... à la fin notre responsabilité

Si vous avez regardé le petit exposé-vidéo sur le terrorisme de Stephan Molyneux un peu plus bas, vous avez peut-être été comme moi un peu surpris par l'idée ou l'angle de vue sur l'État qui est proposé.

En fait, nous vivons beaucoup dans la contrainte de l'ordre établi qui nous entoure même si nous avons tendance à l'oublier. Tous ces règlements que nous suivons dans notre vie sans trop y porter une attention consciente sont pourtant bel et bien là comme nous le rappelle une contravention...

Enfin, nous suivons aussi des modes et obéissons bien souvent à des conditionnements sans trop nous en rendre compte. Sans en prendre la mesure, on oublie souvent que ces contraintes absolument non obligatoires peuvent nous emprisonner. Dans cet aspect des conditionnements non questionnés est surtout l'espace où l'on peut retrouver de la liberté et s'ouvrir au choix conscient... Encore là, j'ai parfois bien de la peine à imaginer le monde sans cette structuration inconsciente de nos comportements... Le rôle que joue l'idéologie de la consommation qui remplace nos religions d'autrefois guident quand même un peu nos conduites. Sans cette gouverne, comment le monde se comporterait-il ? Qu'on le veuille ou non, la collaboration sociale suppose le partage de certaines normes sans quoi ce serait probablement un peu le bordel... Nous avons toujours besoin d'un principe rassembleur et de règles dès qu'il s'agit d'un fonctionnement de groupe... Même si j'ai beaucoup de mal avec l'impératif de consommation qui semblent inciter à consommer pour la survie du système, je vois de l'amélioration poindre avec ce salon de l'auto de Détroit qui, hier, mettait en vedette la voiture verte...

Résister à la tentation de simplifier

Je crois qu'il faut résister à la tentation de simplifier. L'État peut avoir parfois des reflets violents, cependant, avant d'en arriver au extrême, il y a une certaine liberté d'action qui donne de l'espace à des vies tout de même assez bonnes... Nous vivons dans un pays relativement paisible où l'État, tout imparfait qu'il soit, permet de réguler nos interactions ou de nous donner un climat de relative sécurité. Je ne partage pas donc pas la vision anarchiste d'un Molyneux donc. L'État n'est pas unilatéralement un voleur brutal. L'ordre qu'il instaure apporte une certaine paix qui permet d'aller plus loin que la survie immédiate. N'empêche que cette vidéo tout de même questionne un peu la conduite démocratique de notre voisin du sud et tout de même certain aspect de notre propre action nationale en collaborant étrangement avec les Israéliens (1) qui bombardent des Palestiniens ou en participant à une mission assez controversée en Afghanistan... qui fait beaucoup de morts... Pourquoi au juste?

Bref, l'état a le potentiel de violence. Je le préfère portant à l'esprit de Mafia qui énonce les lois de son empire sans condition et sans discussion et qui s'installe naturellement dans des pays sans gouvernance solides. Je le préfère à l'esprit privé dont on peut imaginer les abus quand le gouvernement au-dessus de sa tête n'a pas de force pour imposer un ordre protecteur des citoyens. Coca cola a payé des gens pour assassiner des opposants syndicaux en Colombie.

Il reste qu' avec un tel potentiel, il est important de rester vigilant et de ne pas renoncer à faire en sorte que nos États demeurent des entités qui gèrent le plus humainement possible les conditions qui permettent de vivre décemment et pourquoi pas le plus sereinement possible.

La démocratie et l'État de droits demeurent parce que nous lui rappelons tous les jours le contrat social qu'il suppose...


1- Le Canada et Israël ont signé une entente de coopération sur la sécurité publique en mars dernier évidemment contre les terroristes, il n'y a pas de quoi s'étonner de notre position clairement biaisée. Sans compter que le commerce bilatérale entre Israël et le Canada est franchement développé, vous saviez que nous avons un accord de libre-échange avec Israël?

samedi 10 janvier 2009

Gaza ou notre point de vue gazé...

Il est fabuleux de voir combien ici on répète systématiquement la même chanson: le (méchant) Hamas a brisé le cessez-le-feu. Israel se défend. Tout le monde en appel au cessez-le-feu.

En France, on retrouve une bien plus vaste couverture médiatique et une qualité dans la variété des points de vue.

En fait, selon CNN, Israël a brisé le cessez-le-feu. Ensuite, il est clair que le blocus contre Gaza affame la population. Il est connu que Israel n'a pas respecté aussi sa parole, ne laissant entrer que 20 % des ravitaillements entendus.

On découvre ainsi que, comme toujours, les médias imbéciles perroquets ont répété ce que certains intérêts ont bien pris soin de leur souffler à l'oreille. Et puis nous, ben on regarde les horreurs à la télé.

Je vous invite à lire cette analyse d'un observateur, Tariq Ali, qui nous parle de l'histoire récente et de ce groupe si méchant: le Hamas qui fait face à cette armée si angélique! (Tariq Ali est un historien, écrivain et commentateur politique britannique, d’origine pakistanaise).

Contre-info présente un grand nombre d'articles éclairant sur la question.

Réchauffement climatique

Je vois qu'à TVA passe le film de AL Gore: Une vérité qui dérange. Pour ceux qui le manqueront , on le trouve sur You Tube.

La destruction de la planète continue et, à la base, le mode de vie et les technologies qui en sont responsables aussi...